Dans le cadre de la Charte Forestière de Territoire et de la Journée internationale des Forêts, le Parc naturel de l’Aubrac met en place une opération de sensibilisation aux métiers de la forêt et du bois.

Cette action, organisée avec l’école forestière de Javols, se déroule sous la forme d’une visite d’un chantier d’exploitation forestière. Elle s’adresse plus particulièrement aux classes de 4ème et de 3ème. Elle vise à permettre aux élèves de découvrir la réalité de la forêt et de la filière bois sur notre territoire. Elle offre également l’opportunité de connaître un univers professionnel vers lequel les élèves peuvent choisir de s’orienter.

Partenaires

Maison Familiale et Rurale de Javols
Centre National de la Propriété Forestière
ONF
Syndicat des forestiers privés
Action éducative "Vis ma vie de bûcheron" - PNR Aubrac

Actualités

L'École du Parc s'expose à la médiathèque de la Viadène - PNR Aubrac
L'École du Parc s'expose à la Médiathèque de la Viadène
Publié le 24/07/2025
Autour de Saint Amans des Côts et de Montézic, quatre projets École du Parc ont été mis en œuvre tout au long de l'année 2024-2025. Au fil de l'été, les créations produites se partagent en toute complicité avec la Communauté de communes Aubrac Carladez Viadène grâce à une exposition accessible à tous à la médiathèque de Saint Amans des Côts. Découvrez les créations réalisées par les tout-petits de la microcrèche, par les résidents de l'Ehpad avec les collégiens et par les élèves des écoles de Saint Amans et Montézic, autour des thématiques des arbres et de l'eau. Une immersion curieuse où petits et grands, jeunes et moins jeunes, donnent à voir une expérience scientifique prétexte à des créations artistiques. Tous ces projets sont l'initiative de Marie Nolorgues, enseignante de CP-CE1 à Saint Amans des Côts ; de Morgane Mouliac et Agnès Tabart, enseignantes de l'école de Montézic ; d'Aurore Crozes, responsable de la microcrèche de la Viadène ; de Lucile Jonckheere, animatrice de l'Ehpad Saint Jean ainsi que de Sarah Patris et Alexandra Cransac enseignantes au collège de la Viadène".
Fourrage de feuille de frêne - PNR Aubrac
Compléter l’alimentation des bovins avec les feuilles des haies
Publié le 24/07/2025
Lorsque qu’en septembre, souvent même dès août, les prairies jaunissent et l’herbe disponible n’est plus suffisante pour nourrir les troupeaux, il est traditionnellement donné aux vaches des feuilles de frêne qui complètent bien leur ration alimentaire. Mais savez-vous qu’il n’y a pas que le frêne qui puisse être donné aux bovins ? Mardi 19 août, le Parc naturel régional de l’Aubrac et la mission Haie Auvergne reçoivent Mickaël Bernard, de l’IDELE Limousin. Il viendra présenter les résultats de plusieurs études qu’il a mené pour analyser la digestibilité, l’appétence et les valeurs nutritives d’un panel d’espèces d’arbres présents dans les haies de nos bocages : peuplier, érable, tilleul, orme, chêne, noisetier ou aussi châtaignier et acacia dans les secteurs les plus au sud. Après un exposé en salle le matin, la journée se poursuivra sur le terrain l’après-midi pour échanger avec le public sur les méthodes de taille des arbres et d’exploitation de cette ressource. “La pousse de l’herbe pâtit du changement climatique, le frêne est menacé par cette maladie, la chalarose, qui se propage de plus en plus. Complémenter l’alimentation des bovins en venant couper de temps en temps quelques branches des haies des parcelles, quand elles restent vertes en fin d’été, est une solution intéressante” explique Ugolin Bourbon-Denis, chargé de mission agro-environnement au Parc. “Les feuilles d’arbres ne peuvent pas remplacer l’herbe qui constitue la ration de base des bovins, mais cette diversification peut être bénéfique dans leur bol alimentaire. Au lieu de voir la taille des haies comme une contrainte, voyons comment en faire une ressource supplémentaire. On peut utiliser les haies existantes. On peut même en planter de nouvelles avec des espèces spécifiquement sélectionnées pour faire du fourrage d’arbre” termine-t-il.
Circaète Jean-le-Blanc - T. Vergely - LPO
Gorges de la Truyère : une année favorable à la reproduction des rapaces
Publié le 24/07/2025
Suivi des oiseaux des sites Natura 2000 des gorges de la Truyère Cantal : Chaque année, les animateurs Natura 2000 du Parc mènent un suivi des espèces à enjeux, action prioritaire du site. Ce suivi des oiseaux, et notamment des oiseaux forestiers, mobilise du temps et de la technicité. Il a été renforcé cette année par la présence de Solène Blanc, stagiaire au Parc d'avril à juin. La localisation précise des sites de reproduction des oiseaux est primordiale. Elle alimente la concertation avec les acteurs agricoles et forestiers pour rechercher leur préservation, tout en permettant le développement de l'activité économique locale. 2025 s'est révélée être une année favorable à la reproduction des rapaces, la météo du printemps ayant été plus clémente, moins de vent et moins de pluie qu'en 2024. De nombreux oiseaux ont réussi leur reproduction et ont élevé plusieurs jeunes. 4 couples de circaètes Jean-le-Blanc sur 6 sites suivis ont pu élever un jeune. De nouveaux sites de reproductions de milans noirs ou d'aigles bottés ont été identifiés. Les couples de faucons pèlerins suivis ont tous élevé plus de 3 jeunes. Au total, le site Natura 2000 des gorges de la Truyère cantalienne abrite : - entre 5 et 10 sites de reproduction pour le Hibou grand-duc, - entre 15 et 20 sites pour le Faucon pèlerin et autant pour le Circaète Jean-le-Blanc, - de 25 à 50 sites pour le Milan noir ainsi que pour le Milan royal.
Chapelle d'Aurelle - Saint Geniez d'Olt et d'Aubrac - PNR Aubrac
Chapelle d'Aurelle, des mesures de protection pour l'édifice et pour la colonie de chauve-souris qui y a élu domicile
Publié le 23/07/2025
Une nurserie de Grand Rhinolophe, une espèce de chauve-souris protégée, a élu domicile dans la Chapelle d'Aurelle à Saint Geniez d'Olt et d'Aubrac. Le site bénéficie donc d'un suivi tout particulier mené par la mairie et accompagné par la Ligue de Protection des Oiseaux (LPO) et le Parc naturel régional de l’Aubrac afin de mettre en place des mesures de protection de l'espèce et de l'édifice. Le site est désormais reconnu d’intérêt écologique à l’échelle régionale. Suite à plusieurs dérangements et à une forte mortalité observée en 2023, la LPO, le Conservatoire d'Espaces Naturels (CEN) et les services de l’État ont alerté la commune afin de mettre en place des mesures de protection. Après plusieurs réunions de concertation réunissant élus, associations de protection de la nature et du patrimoine, services de l’État, Parc de l’Aubrac, habitants et acteurs du tourisme, des actions concrètes ont été engagées en 2025 : installation d’un système de vidéosurveillance en temps réel et fermeture estivale de la chapelle durant la période de reproduction des chauves-souris. Pour permettre aux visiteurs de continuer à découvrir ce lieu malgré sa fermeture temporaire, une visite virtuelle est disponible via un QR code sur place. Une trappe discrète permet également d’observer l’intérieur de la chapelle sans perturber la colonie. Et à l'intérieur, des protections contre les souillures des animaux ont été installées. Par ailleurs, un projet d’Arrêté Préfectoral de Protection de Biotope est en cours d’étude, et plusieurs actions de valorisation du site et d’animation autour du village d’Aurelle sont en préparation, en lien avec les services de l’État (DRAC, DDT, DREAL, OFB). Pour connaître la fréquentation touristique du site, le Parc a également posé un éco-compteur, la chapelle se trouvant sur un itinéraire de randonnée. L'éco-compteur permettra de connaître le nombre de visiteurs ainsi que leurs heures de passage, et alimentera ainsi la réflexion du groupe de travail pour la préservation de la Chapelle et de la colonie. Les résultats de ces protections sont pour l’instant encourageants : ces dernières années, la colonie comptait environ 400 individus adultes. Cette année, pour la première fois, 960 chauves-souris ont été recensées, un record départemental. La réduction des dérangements semble avoir un effet direct sur l’attractivité du site pour cette espèce protégée, contribuant ainsi à sa conservation. Ce projet illustre la coopération entre acteurs locaux, institutions et citoyens pour préserver à la fois un patrimoine naturel sensible et un édifice religieux auquel les habitants sont attachés.
Ferme de la Borie Haute - S. Malgouyres
Le fromage de Laguiole de la ferme de la Borie Haute obtient la marque Valeurs Parc
Publié le 18/07/2025
C’est une première en Aubrac pour la marque des Parcs naturels régionaux. Le premier fromage de l’Aubrac à l’obtenir est le Laguiole fermier AOP de la ferme de Caroline Carette et Benoît Rozière à Saint Amans des Côts. La marque « Valeurs Parc naturel régional » est attribuée aux professionnels qui, d’abord, en font la demande, et dont le travail reflète les 3 valeurs de la marque : l’attachement au territoire, une forte dimension humaine et sociale, la préservation et la valorisation de l’environnement et des patrimoines. “J’ai eu la chance de travailler pour des parcs naturels, avant de m’installer agricultrice”, raconte Caroline Carette. “Je connaissais la marque et les valeurs qu’elle porte. Je voulais pouvoir parler de notre exploitation par le biais de ces valeurs” explique-t-elle. “Lorsque nous l’avons auditée” raconte Régine Pechberty, chargée de mission pour le Parc naturel régional de l’Aubrac, “la Ferme de la Borie Haute nous a présenté l’étendue de ses activités : pratiques agricoles réfléchies, prise en compte de l’enjeu du changement climatique, production de fromages sous signe officiel de qualité, commercialisation à proximité, recherche de diversification, implication dans la Coopérative Jeune Montagne...”. “Nous travaillons avec l’association Arbres haies et paysages pour replanter des haies. Avec le Parc et le Conservatoire des espaces naturels pour la préservation de nos cours d’eau. Et nous développons un pré-verger, où l’ombre des arbres protège l’herbe qui est pâturée par nos vaches, et la production de pommes nous permettra de fabriquer et de vendre du jus de pomme. Bon, cette année, nous devrions récolter trop peu de pommes pour démarrer la commercialisation. Mais avec le réchauffement du climat, la pousse de l’herbe est mise à mal, la production de lait aussi, c’est un système que nous testons pour tenter d’y faire face” explique-t-elle. “La seconde raison qui nous a convaincus de demander la marque, c’est de pouvoir intégrer un réseau de professionnels de différents secteurs d’activité et de différents secteurs géographiques de l’Aubrac, qui avancent comme nous, guidés par les mêmes valeurs. L’aspect “dimension humaine et sociale” de notre activité me tient aussi particulièrement à cœur. Par exemple, nous accueillons régulièrement des stagiaires, des apprentis… ça nous apporte une autre vision, ça nous enrichit” termine-t-elle.
Podcasts du Train de l'Aubrac - Cie Gérard Gérard - Agence Complices
Un voyage sonore inédit dans le Train de l’Aubrac
Publié le 17/07/2025
Quand on embarque dans le Train de l’Aubrac, c’est un voyage immersif totalement inédit qui est proposé. “Une expérience complète : artistique, documentaire et contemplative.” explique Alexandre Moisescot, directeur artistique de la Compagnie Gérard Gérard, qui parcourt la ligne depuis plus de 4 ans, micros dans la besace. 25 podcasts, de 5 à 25 minutes, accompagnés de plus de 300 photos, sont désormais à écouter en regardant les paysages défiler par les fenêtres de ce “Train de la Montagne”, star des lignes de desserte fine, exemplaire tant dans sa conception que dans la mobilisation locale qui a permis sa sauvegarde. “L’idée était de faire parler l’Aubrac de l’intérieur”, poursuit-il. “On ne voulait pas faire un documentaire touristique mais capter une vibration, un accent, une mémoire.” Conducteurs de l’Aubrac, À l’Aligot !, Journal de Lutte, Née du vin et du charbon, Le Viaduc de Garabit, L’Aubrac selon André, Tourisme lent, Restauration Engagée... voici quelques titres de ces bonbons sonores, des récits intimes, des témoignages de cheminots, de syndicalistes, de politiques, restaurateurs et restauratrices, paysans et paysannes, scientifiques, historiens… des paysages sonores, des histoires humaines, sociales et ferroviaires. “Mon préféré ? Le dernier !” répond-t-il avec un œil malicieux, avant de poursuivre “J’adore aussi celui sur l’aligot, le séquoia de la gare de Banassac, le fret,... le viaduc de Garabit, pour lequel nous avons créé une composition symphonique, ou encore celui sur les conducteurs du Train de l’Aubrac.” Pour écouter les podcasts du Train de l’Aubrac
Inauguration des nouveaux services du Train de l'Aubrac - PNR Aubrac
De nouveaux services pour encourager l’utilisation du Train de l’Aubrac
Publié le 11/07/2025
Bornes numériques d’informations, bornes de recharge et de réparation de vélos, casiers de consigne avec possibilité de recharger son téléphone,... Mais aussi une carte interactive qui renseigne sur les horaires des trains, des bus, sur les itinéraires rando, vélo, les sites des Offices de tourisme,.. Et un podcast à écouter en voyageant, pour découvrir l’histoire et les enjeux de ce « Train de la Montagne ». “Ces nouveaux services sont des innovations que nous sommes fiers d’avoir soutenues” raconte Mme Peyre, de l’Agence nationale pour la Cohésion des Territoires (ANCT) qui a financé ce projet de redynamisation de la ligne du Train de l’Aubrac aux côtés de la Région Occitanie, des collectivités et du Parc. “Les collectivités ont travaillé ensemble à l’identification et à la création de ces services, elles ont agi localement, concrètement. C’est un projet exemplaire en termes de coopération locale” termine-t-elle. Ce mercredi 9 juillet, ils étaient une cinquantaine d’élus et d’agents des communes et des communautés de communes, Offices de Tourismes et partenaires, à embarquer à la gare de Campagnac-Saint-Geniez pour rejoindre Saint-Flour en train. “En 2022, l’ANCT avait lancé un appel à projet pour permettre aux collectivités d’innover pour encourager les mobilités décarbonées en milieux rural. Grâce au Parc naturel régional de l’Aubrac qui a porté notre candidature, notre projet a obtenu le soutien de l’ANCT et un financement de presque 300 000 euros” explique Michèle Castan, élue à Bourgs sur Colagne et au Parc. “Par le passé, il a fallu se battre pour obtenir la réalisation de travaux” a rappelé Martine Guibert, élue régionale Auvergne-Rhône-Alpes. “En 2019, la ligne était condamnée pour raison de sécurité. Puis nous avons obtenu la réalisation de travaux, cofinancés par les régions Occitanie et Auvergne-Rhône-Alpes, l’État et la SNCF. Avant une deuxième phase de travaux en 2023. Aujourd’hui, il y a une vraie appropriation de la ligne par les acteurs locaux, une dynamique s'est installée et ce n'est que le début” a-t-elle poursuivi. “Ce n’est pas nouveau !” a pointé Alexandre Moisescot. Sa compagnie artistique, Gérard Gérard, a réalisé les 25 podcasts qui accompagnent désormais ce voyage en train. “Le Train de l’Aubrac c’est 30 ans de lutte, du Comité pluraliste, de l’AMIGA, d’élus et de citoyens. C’est une ligne de vie, pour les habitants d’abord, pour le commerce, le fret, et en plus pour les touristes”. A Saint-Flour, Marie Petitimbert, adjointe à la Ville de Saint-Flour et présidente de l’Office de tourisme a présenté l’ambition que les élus ont pour leur gare. “On n’est qu’à 400 mètres des commerces de la ville basse. Ici passent l’itinéraire VTT et gravel de la Grande traversée du Massif central et le chemin de Grande Randonnée Urbain V qui va jusqu’à Avignon,... Nous voulons participer à l’essor d’un tourisme plus respectueux, faire de cette gare, à l’avenir, un pôle multimodal qui offre de vraies alternatives à “l’autosolisme”. Comme au Monastier, où Lionel Bouniol, maire de Bourgs sur Colagne et élu à la Communauté de communes du Gévaudan, a présenté l’ensemble des services désormais disponibles à la gare, grâce à l’installation d’une halte, et dans le centre-bourg à proximité : Location de vélos, voiture électrique partagée, bornes de recharge vélos et voitures, casiers de consigne, borne interactive… “C’est un projet qui a rassemblé au-delà des frontières départementales” souligne Marc Guibert, vice-président du Parc naturel régional de l’Aubrac. “Le confier au Parc, c’était reconnaître son rôle de coordinateur, de facilitateur, reconnaître la pertinence de son entité géographique, économique, écologique, social et culturel”. André Valadier, président-fondateur du Parc, profitant de ce voyage avec son épouse Geneviève, a tenu à rappeler avec malice que “ce projet s’inscrit totalement dans le projet du Parc : sauvegarder, mettre en valeur, et partager l’Aubrac”.
Nuit des Burons au Buron du Pas de Mathieu - 11 juin 2025 - JS Caron
Un avant-été en fête dans les Burons de l'Aubrac
Publié le 09/07/2025
Conseil scientifique et prospectif du Parc - PNR Aubrac
Deux journées d'échanges avec le Conseil scientifique du Parc
Publié le 08/07/2025
Sept membres du Conseil scientifique se sont retrouvés les 8 et 9 juillet pour les journées d'immersion de l'été dans le territoire du Parc. Au programme cette année : découverte des enjeux, tant historiques que liés à la biodiversité, du lac de Saint Andéol - discussion autour des burons et de l'AOP Laguiole au Buron de la Treille - exemple d'une ferme cherchant à diversifier ses productions à la Borie Haute de Saint Amans des Côts. Les échanges ont été une nouvelle fois enrichissants et ont permis l'intégration des nouveaux membres récemment choisis.
Observatoire des prairies de l'Aubrac - PNR Aubrac
Trois journées de prospection botanique pour préparer la création d'un observatoire des prairies
Publié le 04/07/2025
Céline Carayol - Communication Parc naturel de Aubrac ven. 11 juil. 10:20 (il y a 7 jours) À Camille, Ugolin Pareil pour celui-là ? Tests des protocoles de l'Observatoire des prairies 4 membres de Conservatoires botaniques (Bassin parisien, Pyrénées/Midi-Pyrénées, Massif central, Méditerranéen) et deux chercheurs de l'INRAE de Clermont-Ferrand sont venus en Aubrac trois jours afin de s'accorder sur les protocoles de suivi les plus adaptés. Les tests se sont tenus sur les pistes de ski de Saint Urcize. Les milieux naturels étaient très diversifiés avec près de 80 espèces recensées sur 400m². Les chercheurs ont testé plusieurs dimensions de placettes de suivi et en grand nombre. Ils pourront ensuite déterminer le nombre et les dimensions des placettes idéaux pour obtenir le plus d'informations en un minimum de temps. Les essais se sont tenus sur des milieux très divers : pelouse, prairie maigre, lande, prairie riche. Ces trois journées de prospection botanique intense ont permis de détecter plus de 100 espèces végétales sur les pistes de ski, avec des résultats attendus pour l'automne.